L’année suivante, je ne réussissais pas un, mais deux concours que je préparais, dont un concours auquel je n’avais même pas osé prétendre l’année précédente, car trop difficile pour moi (le CAPET, alors que dire de l'agrégation). Du moins, c’est ce que je pensais.
J’ai cartonné aux épreuves d’admissibilité (meilleure note de France à un des écrits, avec le même cerveau pourtant) et j’ai convaincu facilement le jury pour les épreuves d’admission.
Non seulement je réussissais mon concours, mais en plus j’étais armé pour prendre mon poste de la meilleure manière.
La suite : major de promotion lors de mon année de stage.
Parce qu’effectivement, la confiance en soi transcende la préparation d’un concours : c’est le cadeau de toute une vie.
Sans parler de mes relations sociales, et de l'image qu'on percevait de moi.
Car on ne va pas se mentir : bien sûr que de paraître confiant face à autrui est quelque chose d'essentiel !
Et pour ça, il ne faut pas radicalement changer de vie, ou te faire du mal, ou pire encore renoncer à qui tu es et bafouer ta personnalité.
Si j’avais connu ça auparavant, ça m’aurait permis de gagner énormément de temps. Ça m'aurait permis de faire la différence dès la première année.
Car ne l’oublions pas, un concours, c’est être plus convaincant que les autres, c’est tout.
Si tu veux faire la différence, j'ai créé cette formation spécifiquement pour cet objectif.